Pour sa toute première édition, les trois randos-santé proposées ce dimanche 30 mars au sein de la ville de Vienne (ainsi que sur une partie de la rive droite et de Pont-Evêque) et intitulé « Vienne la Romaine, au fil de vos pas » a rencontré un succès indéniable, ce qui n’était pas, si l’on ose dire, couru d’avance… Il est vrai que même s’il faisait un peu frisquet le matin, le soleil qui a brillé toute la journée a concouru à cette réussite.

Rappelons que ces Randos Santé organisée par l’association « Les Godillots Viennois » proposaient trois circuits avec un seul et même point de départ : le théâtre antique.

Particularité, ces trois Randos-Santé de 5, 8 et 15 km, se déroulaient pour une très grande partie dans Vienne et alentours proches et au sein donc de son patrimoine.

Trois parcours étaient proposés : 5 km : au cœur de la ville et ses monuments remarquables, de part et d’autre du Rhône ; un autre de 8 km : le long de la vallée de la Gère et son passé industriel, avec un point de ravitaillement ; et enfin le dernier de 15 km menant jusqu’à Pont-Évêque et son espace naturel sensible, en passant par Malissol avec un ravitaillement supplémentaire.

Près de 250 marcheurs étaient espérés par l’organisation organisatrice. Et à l’arrivée, les organisateur en ont comptabilisé très près de 350. Une centaine de marcheurs s’étaient inscrits pour les 8 et 5 km, moitié moins pour celle celle de 5 km.

Geneviève Tourtet, secrétaire des « Godillots Viennois » a pu constater que « tous les participants étaient ravis à 95 % de l’initiative. J’ai même rencontré des randonneurs qui m’ont expliqué avoir découvert à cette occasion des secteurs, des sites de Vienne qu’ils ne connaissaient pas. » Tel était d’ailleurs l’un de l’objectif de cette initiative menée en partenariat avec l’Office du Tourisme de Vienne Condrieu Agglomération.

Vu ce succès, l’initiative qui a mobilisé pas moins de soixante bénévoles, à l’accueil et tout au long des trois parcours, sera renouvelée. « Nous ne savons pas encore si ce sera l’année prochaine ou dans deux ans », précise Geneviève Tourtet.

Photos : Gérard Marthouret