Cà y est, Cybèle a revêtu ses habits de Festival et a commencé à attirer les festivaliers, présents dès le 1er jour.

Plus de grand barnum à Cybèle, accueillant comme auparavant le “Club des entreprises de jazz à Vienne”, mais beaucoup plus d’espace cette année pour s’asseoir, boire un verre ou manger à table les bocaux des chefs proposés cette année, ou tout simplement écouter la musique s’échappant de la grande scène de Cybèle dans le journée ou émanant du “Kiosque” le soir…

Autre innovation : un méga-brumisateur a été installé à Cybèle. Apprécié aux heures les plus chaudes ou en cas de retour de la canicule…

Pour arriver à Cybèle vous passerez sans doute par une drôle de construction située entre la rue Ponsard et le Jardin de Cybèle. Il suffit de l’arpenter pour créer de la musique. Les enfants en ont raffolé tout-de-suite…

Baptisée Pentacomix, cette construction colorée est l’œuvre du Collectif d’artisans “le Village”.

Parmi les concerts les plus intéressants du jour celui de M’Shel Qaurtet sur la grande scène de Cybèle : un groupe protéiforme qui réussit une synthèse assez enthousiasmante entre le jazz, la pop ou encore le rock, avec une improvisation permanente qui vibre au cœur de cette belle machine musicale.

Vous retrouverez sa chronique quotidienne sur vivre-vienne. L’équipe de Vienne TV a installé pour quinze jours son studio à proximité de la grande scène de Cybèle où Aurélie Beau a commencé à procéder aux interviews de musiciens et d’acteurs du festival. Retour aussi sur le concert cosmique de mardi au cours duquel Raphaël Imbert s’est produit dans le cadre du concert Jeune public devant 4 500 enfants de l’Agglo aux anges.

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