C’est l’une des surprises de cette 43ème édition de Jazz à Vienne qui décidément en offre beaucoup : le concert du chanteur israélien Asaf Avidan se jouera ce lundi 8 juillet à guichets fermés. Il est vrai que ce chanteur au timbre haut-perché et écorché qui évoque d’emblée les plus grandes voix du rock et du blues a su se créer un vaste public en France et ailleurs.

Longtemps indissociable du groupe folk-rock The Mojos avec lequel il a connu ses premiers succès avec trois albums entre 2008 et 2011, Asaf Avidan mène depuis une dizaine d’années une carrière en solitaire couronnée de succès et jalonnée de tubes comme Reckoning Song,

S’il a progressivement incorporé à sa musique des sonorités de plus en plus modernes, le chanteur, qui sait donner à ses récits de chagrins d’amour la force d’un hymne fédérateur, n’a rien perdu de son flair pour écrire des morceaux mémorables.

Il sera ce soir seul sur scène devant 7 500 festivaliers. Il prendra possession de la scène vers 22 heures.

Auparavant, une autre belle voix, orientée, elle, gospel, est programmée en première partie : Lizz Wright.

Depuis son premier album, Salt, en 2003, on sait que Lizz Wright a quelque chose d’unique.

Sweet Feeling qu’elle vient de ressortir dans un album, la révèle une fois de plus, forte de sa culture gospel et blues, toujours entre sacré et profane.

Assister à un concert de Lizz Wright, c’est comme entrer en communion avec une voix rare…

Line-up : Lizz Wright (voix) ; Kenny Banks Sr. (piano, orgue) ; Ivan Edwards (batterie) ; Adam Levy (guitare) et Ben Zwerin (basse). 

Demandez le programme !

Cybèle

12 h 30 : University of Montana Jazz Ensemble
16 h : EYM trio
19 h : Lucas Sanata 5tet

Kiosque de Cybèle

20 h 45 et 22 h : Jam du Hot Club

Musée des Beaux-Arts

18 h : Babx

Le Club

0 h 00 : Elvett