Face à la hausse moyenne de 2 % des tarifs autoroutiers qui entre en vigueur mardi 1er février, Vinci Autoroutes annonce un gel des tarifs pour l’essentiel des trajets de moins de 50 kilomètres. Il s’agit surtout de trajets domicile-travail, qui concernent les grandes agglomérations et leurs périphéries.
Il s’agit pour Vinci Autoroutes d’éviter à ceux qui se servent de leur voiture pour travailler, la double peine : la hausse du prix du carburant et du péage : la filiale de Vinci décide donc de geler une partie de ses tarifs de ses péages.
Le groupe exploite les autoroutes de la moitié sud (dont l’Autoroute A 7) de la France et des Pays de la Loire, notamment.
La grande majorité des trajets de courtes et moyennes distances sont concernées par cette décision.
Il s’agit surtout de trajets domicile-travail, qui concernent les grandes agglomérations et leurs périphéries.
En tout, deux/tiers des trajets de moins de 50 kilomètres sont concernés par le gel tarifaire annoncé par Vinci Autoroutes.
La proportion monte même à 80 % si l’on prend en compte les seuls trajets de moins de 30 kilomètres. Par exemple : Lyon/Condrieu. Ces itinéraires sont très empruntés pour des allers-retours domicile-travail, les moins chers à l’unité, mais les plus nombreux.
Les trajets plus longs restent, eux, soumis à des hausses tarifaires de 2 % voire plus, à compter de demain 1er février, après une augmentation de 0,44 % début 2021 (lire -dessous).
+ 2,19 % pour l’A7 : les tarifs des autoroutes vont augmenter d’environ 2 % le 1er février
